... je me disais aussi qu'il se passait quelque chose de pas normal.
vendredi 8 mai 2009
mercredi 6 mai 2009
Wohohohooo je t'aime à l'italienneuh ...
Hier la fac avait une odeur de gazon.
Elle était toute chauve et elle sentait bon. Elle était en retard, et pas très jolie. Mais elle savait parler, et je crois que nous aussi.
Y'avait des mégots de cigarettes partout. En cours. Dans les escaliers. Dans les poubelles. Par terre. Sur les murs. Dans ma main. Dans mon sac. Dans sa main. Dans son sac ?
Hier la fac a été coréenne. Et iranienne. Et pakistanaise. Et réunionaise. Et américaine. Et italienne.
Hier on avait qu'une envie ... mais on arrivait pas à se décider entre aller en cours, ou rentrer chez nous. Finalement, on a fait les deux.
Hier j'ai rencontré Anahita.
Hier j'ai appris que les autres ne sont jamais mieux servis que par eux-même.
Et j'ai rencontré Coco Chanel Dieu Zanzani. Il m'a fait oublier qui je suis, et je crois que j'ai compris qui il est. On a parlé, sans vraiment comprendre ce qu'on disait. On a échangé sans vraiment avoir de choses à donner. Et on a ri, sans vraiment être de bonne humeur. Alors oui, je crois qu'on s'est compris ! On était tous les deux, à la limite de l'incompréhension, au précipice du non-sens, et au bord de la connerie. Aujourd'hui j'ai su qu'il est dessinateur, ou plutôt aimerait pouvoir dire que c'est son métier. Il met des bandanas, et aime prendre des photos.
Hier la fac avait une odeur de gazon. C'est tant mieux, on se croyait en plein air.
Hier tu m'as montré ton billet d'avion.
Aujourd'hui j'ai failli te montrer ma ptite culotte.
Au fait :
"La vraie faute est celle qu'on ne corrige pas" Confucius
Elle était toute chauve et elle sentait bon. Elle était en retard, et pas très jolie. Mais elle savait parler, et je crois que nous aussi.
Y'avait des mégots de cigarettes partout. En cours. Dans les escaliers. Dans les poubelles. Par terre. Sur les murs. Dans ma main. Dans mon sac. Dans sa main. Dans son sac ?
La vie, c'est quand même beaucoup de fumeurs,
pour pas beaucoup de briquets ...
pour pas beaucoup de briquets ...
Hier la fac a été coréenne. Et iranienne. Et pakistanaise. Et réunionaise. Et américaine. Et italienne.
Hier on avait qu'une envie ... mais on arrivait pas à se décider entre aller en cours, ou rentrer chez nous. Finalement, on a fait les deux.
Hier j'ai rencontré Anahita.
Hier j'ai appris que les autres ne sont jamais mieux servis que par eux-même.
Et j'ai rencontré Coco Chanel Dieu Zanzani. Il m'a fait oublier qui je suis, et je crois que j'ai compris qui il est. On a parlé, sans vraiment comprendre ce qu'on disait. On a échangé sans vraiment avoir de choses à donner. Et on a ri, sans vraiment être de bonne humeur. Alors oui, je crois qu'on s'est compris ! On était tous les deux, à la limite de l'incompréhension, au précipice du non-sens, et au bord de la connerie. Aujourd'hui j'ai su qu'il est dessinateur, ou plutôt aimerait pouvoir dire que c'est son métier. Il met des bandanas, et aime prendre des photos.
Hier la fac avait une odeur de gazon. C'est tant mieux, on se croyait en plein air.
Hier tu m'as montré ton billet d'avion.
Aujourd'hui j'ai failli te montrer ma ptite culotte.
Au fait :
"La vraie faute est celle qu'on ne corrige pas" Confucius
Posted by Lezardeuze at 13:49 0 comments
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