c'est que je t'aime ...
mardi 28 avril 2009
C'est que dans les contes de fées et dans ta tête que l'amour existe ...
Le pire, je crois que c'est d'imaginer ...
Et d'imaginer ce que lui a pu imaginer ...
Et d'imaginer que de toutes façons ça va se reproduire ...
Et d'imaginer que lui aussi il le sait ...
On fait quoi quand on contrôle même plus ce qu'on pense ?
On ampute ?
On peut amputer quand c'est un élément extérieur ? On coupe avec quoi ?
Et quand ça vient d'un recoin profond du cerveau, quand ça vient du cœur, quand ça vient du corps, on retire quoi ?
Quand ça donne la rage, et quand ça fout des claques, on fait comment ?
Quand ça vous fait détester le simple fait d'aimer, et quand ça vous fait haïr d'avoir aimé, on fait quoi ?
Quand y'a que vous qui y pensez, et quand vous auriez pu ne jamais le savoir, vous faites quoi ?
Quand vous y pensez à chaque "je t'aime" et quand ça vous fait mal d'être touchée, il faut faire quoi ?
Quand vous sentez que ça peut tout gâcher, et que y'a que vous qui êtes choquée, comment faut procéder ?
Quand ça vous ronge de l'intérieur, et quand ça vous prend dès le moindre relâchement de votre esprit, faut réagir ?
Quand ça vous donne la nausée, et quand ça vous donne envie de vous éclater les cordes vocales, faut faire quelque chose ?
Quand ça vous fait pleurer de l'intérieur, et quand ça vous fait trembler d'exister, c'est grave ?
Et quand ça vous transforme en grains de sable que l'indifférence de l'autre fait s'envoler, faut faire quoi ?
Quand on se dit qu'on s'est bien foutu de notre gueule, et qu'on en a plus rien à foutre ...
Quand on se dit que ça a tout bousillé ...
... et qu'on peut même pas avoir confiance ...
Quand on veut pas vivre ce genre d'histoire, et qu'on voudrait que l'autre comprenne ...
Quand on voudrait que ça soit l'autre qui abandonne, pour qu'il puisse continuer ses fantasmes, et nous laisser nos rêves rose-bonbon ...
Quand on en a marre de faire comme si on comprend pas ... comme si on voit pas ... comme si on sait pas ... comme si on croit ... comme si on entend pas ... comme si ça vexe pas ... comme si on oublie ... comme si c'est pas grave ... comme si ça fait pas mal TOUT LE TEMPS ... comme si ces putin de mots résonnent pas dans notre tête ... comme si on a à nouveau confiance (cette confiance qui avait même pas lieu d'être) ...
Quand on a plus envie de se battre pour les choses qu'on défendait avec tellement de ferveur ... et que pendant ce temps, à 12 000 km, les souris dansaient ...
Quand on en a marre de devoir surveiller ... quand on veut juste vivre quelque chose de sincère, et de réciproque, sans devoir douter ... se méfier ... demander ... demander de PROMETTRE ... demander d'être franc, d'être vrai, et d'être quelqu'un de bien ... (quelqu'un de bien)
Quand on veut juste vivre, quelque chose, maintenant, là, tout de suite ... sans se dire qu'on le vivra dans quelques temps ... avec quelqu'un qui se laissait vivre entre temps ...
Quand on sait qu'il ment ... et qu'on sait qu'on a raison ...
Quand on vous crache des promesses en pleine figure, et quand on vous enchaîne à un mensonge ...
Quand vous vous êtes offerte en entier, quand lui rêver d'une autre ...
Quand pendant que vous vous languissiez de lui, lui en désirait une autre ... en taquinait une autre ... en charmait une autre ...
Quand vous vous dites qu'il a qu'à aller les voir toutes ces autres, et arrêter de vous faire croire que vous être l'unique ... pour que vous cherchiez celui qu'il vous faut ...
Quand on veut arrêter d'être sur pause, et qu'on veut recommencer à penser à soi ...
Quand on veut être toute seule, parce qu'on sait que le mal qu'on se fait à soi-même, celui-là on peut le supporter ...
Quand on a l'impression d'avaler un nid d'épingles à chaque fois qu'on avale sa salive ...
Quand on a même plus envie de regarder les gens, parce qu'on se sent naïve, et cruche ...
Quand on en a marre de devoir essayer de faire marcher les choses ...
Quand on est fatiguée de vivre à moitié ...
Quand on s'arrête de vivre pour quelqu'un, qui lui ne s'arrête pas pour vous ...
Quand on veut plus que ça,
Quand on veut mieux que ça,
Quand on veut plus ça,
Quand on veut tout abandonner, parce qu'on nous a abandonné bien avant ...
Quand on en a marre de vivre un mensonge ...
Quand on en peut plus ...
Quand ça nous a fait mal, et quand ça continue de faire mal, faut faire quoi ?
Et d'imaginer ce que lui a pu imaginer ...
Et d'imaginer que de toutes façons ça va se reproduire ...
Et d'imaginer que lui aussi il le sait ...
On fait quoi quand on contrôle même plus ce qu'on pense ?
On ampute ?
On peut amputer quand c'est un élément extérieur ? On coupe avec quoi ?
Et quand ça vient d'un recoin profond du cerveau, quand ça vient du cœur, quand ça vient du corps, on retire quoi ?
Quand ça donne la rage, et quand ça fout des claques, on fait comment ?
Quand ça vous fait détester le simple fait d'aimer, et quand ça vous fait haïr d'avoir aimé, on fait quoi ?
Quand y'a que vous qui y pensez, et quand vous auriez pu ne jamais le savoir, vous faites quoi ?
Quand vous y pensez à chaque "je t'aime" et quand ça vous fait mal d'être touchée, il faut faire quoi ?
Quand vous sentez que ça peut tout gâcher, et que y'a que vous qui êtes choquée, comment faut procéder ?
Quand ça vous ronge de l'intérieur, et quand ça vous prend dès le moindre relâchement de votre esprit, faut réagir ?
Quand ça vous donne la nausée, et quand ça vous donne envie de vous éclater les cordes vocales, faut faire quelque chose ?
Quand ça vous fait pleurer de l'intérieur, et quand ça vous fait trembler d'exister, c'est grave ?
Et quand ça vous transforme en grains de sable que l'indifférence de l'autre fait s'envoler, faut faire quoi ?
Quand on arrive pas à oublier ...
... quand on veut pas oublier ...
... quand on veut tout ENVOYER CHIER ...
... quand on veut pas oublier ...
... quand on veut tout ENVOYER CHIER ...
Quand on se dit qu'on s'est bien foutu de notre gueule, et qu'on en a plus rien à foutre ...
Quand on se dit que ça a tout bousillé ...
... et qu'on peut même pas avoir confiance ...
Quand on veut pas vivre ce genre d'histoire, et qu'on voudrait que l'autre comprenne ...
Quand on voudrait que ça soit l'autre qui abandonne, pour qu'il puisse continuer ses fantasmes, et nous laisser nos rêves rose-bonbon ...
Quand on en a marre de faire comme si on comprend pas ... comme si on voit pas ... comme si on sait pas ... comme si on croit ... comme si on entend pas ... comme si ça vexe pas ... comme si on oublie ... comme si c'est pas grave ... comme si ça fait pas mal TOUT LE TEMPS ... comme si ces putin de mots résonnent pas dans notre tête ... comme si on a à nouveau confiance (cette confiance qui avait même pas lieu d'être) ...
Quand on a plus envie de se battre pour les choses qu'on défendait avec tellement de ferveur ... et que pendant ce temps, à 12 000 km, les souris dansaient ...
Quand on en a marre de devoir surveiller ... quand on veut juste vivre quelque chose de sincère, et de réciproque, sans devoir douter ... se méfier ... demander ... demander de PROMETTRE ... demander d'être franc, d'être vrai, et d'être quelqu'un de bien ... (quelqu'un de bien)
Quand on veut juste vivre, quelque chose, maintenant, là, tout de suite ... sans se dire qu'on le vivra dans quelques temps ... avec quelqu'un qui se laissait vivre entre temps ...
Quand on sait qu'il ment ... et qu'on sait qu'on a raison ...
Quand on vous crache des promesses en pleine figure, et quand on vous enchaîne à un mensonge ...
Quand vous vous êtes offerte en entier, quand lui rêver d'une autre ...
Quand pendant que vous vous languissiez de lui, lui en désirait une autre ... en taquinait une autre ... en charmait une autre ...
Quand vous vous dites qu'il a qu'à aller les voir toutes ces autres, et arrêter de vous faire croire que vous être l'unique ... pour que vous cherchiez celui qu'il vous faut ...
Quand on veut arrêter d'être sur pause, et qu'on veut recommencer à penser à soi ...
Quand on veut être toute seule, parce qu'on sait que le mal qu'on se fait à soi-même, celui-là on peut le supporter ...
Quand on a l'impression d'avaler un nid d'épingles à chaque fois qu'on avale sa salive ...
Quand on a même plus envie de regarder les gens, parce qu'on se sent naïve, et cruche ...
Quand on en a marre de devoir essayer de faire marcher les choses ...
Quand on est fatiguée de vivre à moitié ...
Quand on s'arrête de vivre pour quelqu'un, qui lui ne s'arrête pas pour vous ...
Quand on veut plus que ça,
Quand on veut mieux que ça,
Quand on veut plus ça,
Quand on veut tout abandonner, parce qu'on nous a abandonné bien avant ...
Quand on en a marre de vivre un mensonge ...
Quand on en peut plus ...
Quand ça nous a fait mal, et quand ça continue de faire mal, faut faire quoi ?
Posted by Lezardeuze at 11:55 1 comments
samedi 25 avril 2009
Nevermore
Les cercles ont une fin, car j'ai du redémarrer moult choses paisiblement cycliques que je pensais certaines.
Les gens changent. C'est un fait. On le sait tous, mais on ne s'habitue jamais à le voir. Je change. Tu as changé. Nous avons changé. Ils ont évolué.
Je t'ai changé. Tu m'as changée. Tu nous as changé. Ils nous ont fait évoluer.
Le changement, dans le domaine du sentiment soit-disant éternel ... ça fait tâche. Alors j'ai lessivé. Je lessive toujours. J'ai un énorme paquet de linge sale. A tort d'avoir du savon puissant, j'ai utilisé des larmes. Et comme on manque d'assouplissant, j'ai tout simplement tenté de trouver ce qui pourrait donner un goût et un toucher agréable à la mixture.
J'ai décidé de recommencer de vivre avec les yeux fermés, ne serait-ce qu'un moment. Pour laisser le Mal faire tout ce qu'il a à faire, pour laisser les entorses se former, à l'aveuglette, pour ensuite, enfin ouvrir les yeux sur la Vérité.
Notre histoire vivra de ces conséquences. Mets-y autant que tu veux, mais ne t'étonne pas si un jour le lit est froid à côté de toi.
La vie est un jeu, et nous en définissons les règles. Les miennes avaient été claires. Au pire, elles le seront maintenant, avec ce goût amer en bonus.
Sois ton propre juge.
Merci pour la chute, la douleur m'a fait grandir. Merci pour le souvenir. Merci pour la suite.
Maintenant que tout est dit, sache que la victime aime son bourreau. C'est l'arme utilisée pour la torture qu'elle hait.
Les gens changent. C'est un fait. On le sait tous, mais on ne s'habitue jamais à le voir. Je change. Tu as changé. Nous avons changé. Ils ont évolué.
Je t'ai changé. Tu m'as changée. Tu nous as changé. Ils nous ont fait évoluer.
Le changement, dans le domaine du sentiment soit-disant éternel ... ça fait tâche. Alors j'ai lessivé. Je lessive toujours. J'ai un énorme paquet de linge sale. A tort d'avoir du savon puissant, j'ai utilisé des larmes. Et comme on manque d'assouplissant, j'ai tout simplement tenté de trouver ce qui pourrait donner un goût et un toucher agréable à la mixture.
J'ai décidé de recommencer de vivre avec les yeux fermés, ne serait-ce qu'un moment. Pour laisser le Mal faire tout ce qu'il a à faire, pour laisser les entorses se former, à l'aveuglette, pour ensuite, enfin ouvrir les yeux sur la Vérité.
Témoin.
Cachoteries.
Promesses.
Mensonges.
Risque.
Lâcheté.
Conséquences.
Cachoteries.
Promesses.
Mensonges.
Risque.
Lâcheté.
Conséquences.
Notre histoire vivra de ces conséquences. Mets-y autant que tu veux, mais ne t'étonne pas si un jour le lit est froid à côté de toi.
La vie est un jeu, et nous en définissons les règles. Les miennes avaient été claires. Au pire, elles le seront maintenant, avec ce goût amer en bonus.
Sois ton propre juge.
Merci pour la chute, la douleur m'a fait grandir. Merci pour le souvenir. Merci pour la suite.
Maintenant que tout est dit, sache que la victime aime son bourreau. C'est l'arme utilisée pour la torture qu'elle hait.
Je t'aime. Encore. Autant.
Mais pas plus qu'avant.
Mais pas plus qu'avant.
Posted by Lezardeuze at 12:05 0 comments
mardi 7 avril 2009
Stellar
If I were a spider, you would be my web
If I were the wind, you would be the air
But if I were a lion, would you be my prey ...
If you were a mountain, I would be the height
If you were the sleep, I would be the night
But if you were a river, would I be the fall ...
If I were a watch, you would be the second
If I were a lemon, you would be the zest
And if I were something, will you be the rest ?
If I were a heartbeat, you'd be the pacemaker !
Posted by Lezardeuze at 14:37 0 comments
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